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 » Premier groupe et déjà premier tumulte maritime. Propofol a mis le feu aux poudres. Instant explosif, que nous a offert ce trio, venu tout droit de Montréal et qui finissait sa tournée européenne. Dernière date avant d’aller se poser sur le sol mexicain. Dernière date, alors on en a profité. Propofol donne envie de danser. Propofol donne envie de sauter. Propofol donne à transpirer. C’est des décharges électro-pop, électro-rock. C’est une énergie frappadingue. C’est du français libéré, imagé et assumé. C’est couillu.

Puis nos oreilles en prennent un coup. La musique est riche de textures. De touches électros. De note de flûte traversière. De mélodies extraterrestres. Du rock sans guitare, car là est aussi le détail qui fait que le groupe est encore plus surprenant. Bizarrerie d’un soir. Impression d’avoir sous nos yeux un Ovni, un brin félin, qui mêle avec brio les influences anglo-saxone au texte français. Un clavier perché sur un jeu de basse batterie percutant. Une voix qui nous capte. Qui nous happe. Et La Dame de Canton tangue. « 

Extrait de l’article www.indiemusic.fr

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